Le Web peut être vraiment très dur : le cas avec l’Américaine Jessi Slaughter

Avec le Web, les choses peuvent aller beaucoup plus vite. Dans la plupart des cas, il nous aide à pouvoir communiquer, rigoler, faire des rencontre, … mais c’est à prendre avec des pincettes car si vous avez suivi l’histoire de la jeune américaine Jessi Slaughter, le Web peut aussi gâcher une vie (en tout cas une période de sa vie).

Vous trouverez cette histoire en totalité sur le site de l’express mais pour résumer, cette histoire est horrible. En voici les grandes lignes :

Tout commence par une jeune pré-ado qui publie régulièrement des vidéos sur Youtube. Elle devient « célèbre » et de ce des rumeurs commencent à circuler.

Au lieu de nier ces rumeurs et notamment celle d’un amour entre elle et le musicien d’un groupe connu, elle provoque et se laisse aller dans le mensonge.

Et la, elle commence à avoir des trolls autour d’elle, des commentaires pas très sympa lui gâchent la vie. Alors pour arrêter cela, elle poste une vidéo dans laquelle elle menace ces méchantes personnes.

Finalement, les gens trouvent et diffusent ses vrais noms, prénoms et coordonnées ce qui a pour conséquence qu’elle commence à recevoir des appels anonymes, des lettres, des menaces de mort, …

De nouveau dans le but d’arrêter tout cela, elle publie une vidéo dans laquelle ses parents interviennent (le papa est à la limite du grotesque) impliquant la « cyberpolice ». Père, qui arrive en menaçant, mais sa fille n’est pas non plus toute blanche car dire la phrase qui suit à 11ans, c’est dramatique : « Ceci est un message pour les gens pleins de haine. Si vous n’arrêtez pas, je vous mets un flingue dans la bouche et je réduis votre cervelle en bouillie. Vous êtes jaloux parce que je suis parfaite, c’est tout. Attrapez le sida et crevez. »

Et au final, cette jeune fille de 11 ans est actuellement sous protection policière, et ses parents sont sous surveillance !

Bref, cette petite mais grave histoire pour vous montrer à quel point il faut faire attention à soi avec Internet.

Source : l’Express